Dalila McCanthy Super Admin' ♥
Messages : 25 Date d'inscription : 07/01/2009
[+ Sur Votre Perso'. ] ¤ RELATIONS: ¤ A ENVIE DE...:
| Sujet: Because...it's night (Bill) Lun 14 Déc - 20:58 | |
| Mmh, prend moi dans tes bras mon amour... Etreints moi, oui, serre moi contre ton corps. La belle songeait, assise sur ce banc défraichi, terni après de longues années de bons et loyaux services. Oui mon amour, on s'appelle. La demoiselle ferma les yeux. Oui mon coeur, on aura des enfants. Tout ces mots, ces souvenirs, lui faisaient mal, lui brisaient le coeur. Je t'aime encore, tu sais. Elle voudrait pleurer, encore, mais elle a déjà trop pleuré. Lui, pourquoi, l'incompréhension totale. Il a osé la tromper, lui faire mal, aller en voir une autre. Aller aimer ailleurs. Pourtant, ils avaient tout, ils formaient "le couple idéal", comme on dit. Quand on voit comment ça a finit... Pourtant, elle l'aimait encore, toujours. Malgré le mal qu'il lui avait fait, elle n'arrivai pas à l'oublier. Il n'avait pas cherché à lui demander pardon, il n'avait même pas été étonné qu'elle s'en aille du jours au lendemain. La fatalité, il avait fait son choix. Il ne l'avait appelée qu'une fois pour lui demander si elle comptait passer prendre quelques affaires. Lui, mais je l'aime. Elle, pourtant si électrique, n'arrivait même plus à regarder devant. Toutes ses pensées se mélangeaient, nostalgiques. La belle brune laissait cependant apparaître un visage impassible. Mais elle souffrait, au plus profond de son âme. Elle savait que la belle histoire était finie. Qu'il fallait passer à autre chose. Et la seule chose dont elle avait envie, là, sur le moment, c'était d'une personne capable de lui faire oublier cette douleure. Une nuit, juste une nuit d'amour et de passion. D'effusion de sentiments comme jamais. Avant le retour au présent. La jeune femme, vêtue d'un jean noir assez moulant et d'une veste en cuire, fut parcourue d'un frisson. La brise soufflait, froide, glaciale même. La température de cette nuit d'hiver était descendue bien au dessous des zéros degrès, et la belle le ressentait peu à peu, se laissant engourdir les mains, les lèvres. Elle n'avait pas envie de rejoindre sa chambre d'hôtel, ni de sortir. Juste de rester sous ce ciel sombre, avec pour unique lumière ce faible quart de lune pour l'éclairer. | |
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